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Arithmos
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10 mai 2015

Le spectre, déviations géodésiques © Laurent Aubin 2015 sur Amazon

Disponible sur amazon

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"Pourquoi écrire sur un domaine relevant de la physique quantique? Pour deux raisons consécutives: parce que cette discipline s'évertue à corriger une erreur fondatrice des mathématiques modernes et que je me suis attelé à la corriger. Ceci à l'air désuet en comparaison de l'ampleur des problèmes sociétaux auxquels l'humanité doit faire face, pourtant il s'agit de la conception même de l'existence et de sa réalisation.

Une dérive ancestrale et conceptuelle dont il reste au plus grand nombre à prendre la mesure et ses implications sociologiques en terme médical, d'enseignement, et d'art sont aussi infiniment variées que profondes à mon sens. Car concevoir la réalité sous son seul aspect viable ne se fait pas dans la réplication simiesque d'un mimétisme systématique, c'est réformer radicalement la façon dont s'envisage communément la relation au monde. Et c'est urgent: si l'âme et l'univers sont d'ordre magnétique, ils ne se réduisent pas à une robotique.

Ce travail part d'un constat simple: nous nous sommes trompé de langage. À tous les niveaux et dès le plus jeune âge, nous avons omis quelques données de base. Elles sont arithmétiques, ni plus ni moins... si ce n'est géométrique et donc arithmologiques. Oubli pourtant inscrit au patrimoine génétique de l'humanité.

J'approche ici le spectre depuis ses rudiments arithmétiques, tel que posés depuis l'antiquité, par 9/8. La mesure la plus et juste des sons en terme d'amplitude et la plus imparable: je la pousse au-delà. Mais la dérive la plus sournoise en matière de proportion. Celle qui a conduit notamment Bonaparte à imposer le système métrique au détriment des mesures hexagésimales et occulté les fondements mêmes des systèmes usuels de numération. Celle qui a fait du monde un jeu de monopoly virtuel aux mains des religions et relégué la connaissance humaine au rang d'ésotérisme... pour cause d'obscurantisme. Enfin, celle qui a fait de ratios considérés à tort comme primordiaux, tels que pi et 0, le socle de la négation, d'une société exclusivement financière et d'une économie virtuelle. Bref, une soif d'expansionnisme intarissable qui dépossède l'individu de ses facultés cognitives, son seul bien, et, privé de sa vraie dimension, le mène tout droit à l'abattoir. Déviation géodésique d'ordre décimal, l'amplitude estompe la fréquence.

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Mais qui ceci pourrait-il bien intéresser? Disons que j'en ai comme une vague idée. À peu près tout le monde, car ne pas se pencher sur la nature de la création, c'est déjà ne plus exister. De l'infra-rouge dans lequel baignent nos neurotransmetteurs jusqu'à l'ultra-violet du rayonnement cosmique, il n'y a qu'un pas dont même l'amplitude est colorée. C'est celui que je propose de franchir ici, et sans se déplacer pour autant, ni rendre l'âme, évidemment.

Rechercher une vérité, c'est parcourir une réalité, celle d'un ensemble de simulacres. Et c'est d'ailleurs la signification du mot spectrum en latin. À bien y regarder et morphologiquement, c'est un vocable qui me correspond assez bien finalement. Mais qu'entend-on par spectre? « L'ensemble des rayonnements de différentes longueurs d’onde, qui résultent de la décomposition de la lumière par un prisme » entre autres... Il n'est rien de plus délicat que d'arrêter une terminologie car toute limite est amplitude et elle s'avère très relative. C'est pourquoi j'aborde le sujet (comme tous) par les nombres. La racine du langage est bien le plus neutre qui soit, donc le plus juste. Parler de création c'est aborder le spectre et ses simulacres. J'évite ici l'acception « mathématiques » car elle n'échappe pas à la règle, galvaudée comme toute autre, mais empreinte d'autant de vocables et codifications qui ne correspondent pas nécessairement précisément à mon approche, arithmo-géométrique.

Si j'envisage le spectre, c'est son intégrité qui m'intéresse, pour moi il n'y en a qu'un, comme il n'y a qu'une cellule, un organisme et un A.D.N., une seule onde. C'est un constat « mathématique ». Bref, une matrice. Il n'y a qu'un paradoxe, infiniment multiple. Celui qui fait notamment qu'une quinte augmentée ou un sol# peut s'avérer bénéfique pour l'organisme alors que dans son amplitude, sa fréquence harmonique marron-rouge n'est en rien à mon goût d'un point de vue culinaire. C'est en outre la couleur de la choroïde qui absorbe les rayons lumineux. L'œil est un prisme et sa fonction est de percevoir les longueurs d'ondes lumineuses depuis les infra-rouges jusqu'aux ultra-violets. Un ensemble d'amplitudes intermédiaires sur lequel cette couleur ne se répartit pas franchement chromatiquement, et dans laquelle le globe oculaire aurait une fâcheuse tendance à s'allonger sous la pression hexagonale des muscles qui l'enceignent. Tout comme la proportion, l'observation est de nature fractale, mais pas exclusivement. C'est par son intensité que l'onde se manifeste. La lumière est constante, le prisme est polymorphe."

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Arithmos
  • Le mot grec arithmos signifie nombre. L'arithmo-géométrie, l'abord de la géométrie par le nombre. L'arithmologie est l'étude de la symbolique des nombres. 9 chiffres, neuf caractères d'une écriture tant parfaitement rationnelle que conceptuelle.
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